Je suis d'accord avec cette problématique de l'art d'aujourd'hui et d'ailleurs dans le cas du métro de Toulouse, qui avait permis l'installation d'oeuvres d'art contemporain, nous avions organisé des réunions de quartier avec les artistes pour expliquer chaque oeuvre. Ce dialogue a permis une bonne acceptation de ces oeuvres. Cela pose aussi la grande responsabilité que l'on doit assumer dans la commande publique.