A chaque fois que nous avons légiféré, nous avons pris en compte l'intérêt des auteurs de films français et européens. La numérisation pose la question de la concurrence. Le CNC essaie d'obliger les acteurs à se rapprocher. Les États-Unis avancent plus vite que l'Europe qui reste trop en marge. La stimulation est obligatoire. L'objectif est de défendre les productions françaises et européennes. Nous sommes actuellement en discussion sur le prix du film. Mais il faut aller plus vite pour obtenir les consentements des différents acteurs du secteur. Le marché doit accepter une organisation pour que ça fonctionne.