a déclaré partager les inquiétudes du rapporteur spécial quant à l'aggravation de la dette de l'Etat et de sa charge. En particulier, il a relevé la forte exposition de cette dernière au risque d'un relèvement des taux d'intérêt. Il a estimé que la hausse de l'endettement de l'Etat, de l'ordre de 110 milliards d'euros, prévue pour la fin 2009 par rapport à la fin 2008, est en grande partie imputable à la politique fiscale menée par le Gouvernement depuis 2003 et au creusement du déficit budgétaire auquel, selon lui, elle contribue.