Prolongeant les propos de Mme Christiane Kammerman et de Mme Michèle André, présidente, sur leurs observations à l'occasion de la visite du centre de Rennes, M. Claude d'Harcourt a estimé que les femmes s'efforçaient en général, plus que les hommes, de prendre en main leur destin, en soulignant au passage la propreté des prisons pour femmes ainsi que la corrélation entre la bonne tenue d'un établissement et le comportement des détenus.