a indiqué que les contacts entre la France et l'Allemagne étaient constants et intervenaient à tous niveaux, malgré des organisations administratives souvent différentes. Il a souligné qu'un accord sur le nouveau traité européen n'avait pu aboutir que grâce à la coopération franco-allemande.
Il a ajouté que, dans le cadre du programme Galiléo, d'intenses échanges étaient en cours avec l'Allemagne. Il a précisé que la question de la gouvernance de ce système et, dans une moindre mesure, celle de son financement, soulevaient néanmoins des difficultés, l'Allemagne craignant en particulier que la Commission européenne ne puisse être maître d'oeuvre de ce programme.