a souhaité connaître le point de vue du rapporteur spécial sur le soutien apporté par les PFIL aux créateurs d'entreprises, par comparaison avec celui qu'ils pouvaient recevoir des chambres de commerce et d'industrie. Il l'a également questionné sur la qualité des dispositifs de préparation des créateurs, qu'il avait pu observer au cours de ses contrôles sur pièces et sur place. Enfin, il lui a demandé si l'intervention financière des plates-formes, à travers les prêts d'honneur, ne pourrait pas, selon lui, servir de « pont », en France, avec la pratique anglo-saxonne des « business angels » ou « investisseurs providentiels ».