a demandé des précisions sur :
- le profil, le nombre, la taille et les activités des entreprises représentées au sein du SYRTA, notamment en matière de diagnostic ;
- la fiabilité des diagnostics, qui est fréquemment mise en cause ;
- le respect de la procédure d'établissement des plans de retrait ou de confinement de matériaux contenant de l'amiante (PRC), qui sont transmis aux inspecteurs du travail et aux agents de prévention des caisses régionales d'assurance maladie ;
- la sécurité sur les chantiers de désamiantage, non seulement celle des salariés qui interviennent directement sur le retrait, mais également au regard de l'environnement.
Enfin, il a souhaité connaître l'opinion des représentants du SYRTA sur l'alternative qui se pose entre le maintien sur place d'une partie des populations concernées par une opération de désamiantage, comme tel est le cas pour le campus de Jussieu, et la formule du déménagement complet et temporaire, qui a été retenue pour le désamiantage de l'immeuble de la Commission européenne.