En s'appuyant sur son expérience professionnelle, Mme Catherine Procaccia a rappelé que la plupart des salariés de la tour Gan de la Défense avaient refusé d'être « délocalisés » lors des opérations de désamiantage et a demandé des précisions aux intervenants sur les conditions du désamiantage de cette tour, qui contiendrait encore aujourd'hui des traces d'amiante.