a rappelé que, depuis 1999, un décret imposait aux caisses d'instruire les dossiers dans un délai de trois mois, qui peut éventuellement être prolongé pour une durée équivalente. Bien qu'il puisse subsister des dépassements, cette mesure a représenté un véritable progrès par rapport à la situation antérieure, qui n'enserrait la décision des caisses dans aucun délai.