a indiqué qu'en Italie, il existait une police pénitentiaire. Concernant la proposition du rapporteur, il a déclaré ne pas être convaincu qu'il y ait un volume de travail suffisant pour occuper à temps plein un corps spécifique. Il s'est surtout déclaré frappé par le nombre de policiers et gendarmes en faction devant des bâtiments publics, estimant que des alternatives existaient, notamment en recourant à des entreprises privées.
Il a déclaré que l'un des problèmes importants rencontrés dans les quartiers difficiles était la jeunesse des policiers qui y sont affectés ainsi que le fait qu'ils restaient souvent moins de deux ans. Il a interrogé M. Jean-Patrick Courtois, rapporteur pour avis, pour savoir si des solutions étaient envisagées pour y remédier.
Enfin, il a demandé si le projet de budget pour 2007 prévoyait des crédits pour rémunérer les indicateurs.