a, en premier lieu, indiqué qu'il partageait la préoccupation de M. Aymeri de Montesquiou et qu'il aurait préféré que les marges de manoeuvre budgétaires soient affectées à l'amélioration de la compétitivité de la France. Puis il a souligné que, s'il était normal que les collectivités territoriales participent à l'effort général de modération des dépenses, le gouvernement devait leur permettre de mieux maîtriser l'évolution desdites dépenses en « cessant de dépenser pour elles ».