En réponse, M. Barah Mikaïl a précisé que :
- il n'existe pas de preuve tangible de la volonté d'un ou de plusieurs Etats de puiser dans les ressources afghanes. Un des échecs majeurs de la reconstruction de ce pays réside dans le nombre très limité des infrastructures d'irrigation remises en état : on les évalue en effet aux environs de 13 % ;
- c'est en réalité le Tibet qui constitue le château d'eau de cette région et alimente à la fois l'Inde, l'Asie centrale et la Chine.