a estimé que l'aspiration des pays en voie de développement à une plus forte croissance économique était naturelle et légitime, observant qu'eux-mêmes avaient bien été conscients de la nécessité de trouver un équilibre entre le développement et la préservation de leur environnement. Il a souligné qu'un infléchissement des modes de consommation et une diversification des sources d'énergie dans ces pays étaient nécessaires. Il a concédé que si les Etats-Unis, le Japon et l'Europe semblaient mobilisés par les défis liés aux changements climatiques, les pays émergents comme l'Inde et la Chine demeuraient méfiants à l'idée de s'engager sur des objectifs trop contraignants.