s'est interrogé sur les raisons qui conduisaient les puissances occidentales à avoir peur que l'Iran n'utilise un jour l'arme nucléaire. Il a jugé que, compte tenu des risques de représailles immédiates qu'encourrait l'Iran, l'utilisation de cette arme lui paraissait peu probable. Il a souligné que, en outre, il lui paraissait sinon légitime du moins compréhensible qu'une puissance régionale comme l'Iran, entourée de voisins qui, comme le Pakistan ou Israël, disposent de l'arme nucléaire, veuille accéder au rang de puissance nucléaire.