Auparavant, chaque port avait son comité, lorsque la pêche était florissante. Il ne reste aujourd'hui que la moitié des bateaux et la moitié des marins. Mieux vaut éviter une rivalité entre comités locaux, chacun cherchant à survivre ; nous préférons élever le débat et maintenir des antennes pour l'accueil et le conseil, car le marin qui rentre au port ne peut courir à Nantes ou à Rennes.