Le texte permet, en l'état, de renforcer la présence de la France dans le monde, et de renforcer son influence, ce qui doit être salué. Toutefois, il faut rappeler que les crédits de l'action extérieure de l'État ont diminué de 38 % en cinq ans. Quand on a de l'ambition pour la France dans le monde, on le montre en général dans les chiffres. Il est dommage que l'ambition démontrée dans les textes ne se traduise pas dans le budget.
Une deuxième critique de fond porte sur la place accordée au travail des journalistes, et à leur liberté de déplacement. Le texte restreint la liberté de mouvement des journalistes plus que ce qu'il ne la favorise.