a souligné, à cet égard, l'importance des « phénomènes de mode », en précisant que le journalisme politique, autrefois considéré comme une spécialité « noble », semblait aujourd'hui moins prisé par les hommes et faisait donc une place plus large aux femmes. Elle a regretté que les étudiants des écoles de journalisme, très motivés par les sujets culturels, ne s'intéressent pas davantage au secteur social et à l'éducation. Au-delà des problèmes d'orientation, elle a suggéré la mise en place, dans les écoles de journalisme, d'un court module de formation destiné à sensibiliser les étudiants à la question de la place des femmes dans les médias.