a rejoint cette observation, en prenant l'exemple des violences faites aux femmes, tout en reconnaissant que le traitement de ces violences par les médias avait contribué à les réduire. Elle a relativisé le phénomène de « victimisation », en soulignant que les médias assuraient une bonne couverture des grandes vedettes sportives féminines, des femmes chefs d'entreprise ou encore des femmes ministres. S'agissant de la nomination de femmes à des postes ministériels, elle a noté qu'elle était désormais considérée de manière positive, et non plus comme le « fait du prince ». Elle a souligné les progrès de la parité en politique, où la situation des femmes est désormais plus favorable que dans le monde des affaires ou des médias.