a déploré que des réflexions engagées, au niveau national, par les tenants de l'orthodoxie financière et fiscale, aboutissent, en définitive, à remettre en cause des politiques sectorielles, sans que les commissions parlementaires compétentes soient associées à la préparation de ces réformes. S'il a reconnu la nécessité de réaliser des économies budgétaires et d'aboutir à certaines simplifications, il a jugé essentiel, néanmoins, de préserver les outils dédiés à notre politique du patrimoine, compte tenu de l'impact de cette dernière en termes d'attractivité touristique et donc de l'importance des retombées économiques et fiscales qu'elle génère.