a insisté sur la nécessité de ne pas assimiler le dispositif Malraux à une simple « niche fiscale ». Il a jugé fondamental de préserver une politique volontariste en faveur des centres anciens, dans un souci de sauvegarde et d'équilibre social de ces quartiers, mais aussi afin d'éviter que les collectivités territoriales soient contraintes d'user de leur droit de préemption pour se substituer à l'initiative privée. Il a souligné, enfin, le travail remarquable accompli par l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU) auprès des collectivités.