On peut donc espérer connaître les véritables marges à l'avenir. La sècheresse actuelle va provoquer beaucoup de fermetures d'exploitations en Corrèze et dans le Limousin. Il faudrait pouvoir attendre 2014 pour que la légitimité des aides agricoles soit reconnue au titre de la rémunération des biens publics. Le commissaire européen a annoncé que la rémunération à ce titre représenterait un tiers du budget de la PAC. C'est loin d'être négligeable.
Je partage vos préoccupations sur les nouveaux défis, et je suggère de regrouper dans le rapport, d'une part, les recommandations qui relèvent du niveau national et, d'autre part, celles qui relèvent du niveau européen.