a tenu à rappeler qu'Areva avait pu conduire et réussir son développement tout en restant une entreprise à capital public, estimant que la question de l'ouverture du capital de l'entreprise renvoyait aussi à un choix politique. Il s'est inquiété du point de savoir si Areva, « champion » européen en matière d'énergie nucléaire, n'était pas exposé au même risque de prise de contrôle que ne l'est Arcelor aujourd'hui, estimant que cette question renvoyait à la problématique plus large de l'indépendance énergétique de l'Europe.