Pour répondre d'abord à M. Trucy, j'indique que le Ghana figure dans la liste des quatorze Etats subsahariens retenus, en 2009, parmi les pays pauvres qui doivent bénéficier de façon prioritaire de l'APD française. La Côte d'Ivoire n'en fait pas partie.
En ce qui concerne la réduction des dépenses d'intervention en 2011, le ministre des affaires étrangères et européennes, lors de son audition du 26 mai dernier, nous a indiqué que les arbitrages n'avaient pas été rendus. L'aide publique au développement sera-t-elle épargnée ?