a souligné que les réassureurs réagiraient mal si, dans le cadre du CAP +, les assureurs-crédit étaient contraints de participer à des risques que, par définition, ils ne souhaitent pas garantir.
Il a également considéré que le niveau des capitaux propres des assureurs-crédit ne pose pas de problème, l'essentiel étant la maîtrise du risque : quelle que soit leur capitalisation, les assureurs-crédit ne pourront pas couvrir un risque de défaillance de 2 % en encaissant une prime de l'ordre de 2 pour mille de l'encours garanti.
Il a enfin insisté sur le rôle d'amortisseur de l'assurance-crédit en temps de crise, relevant que la Belgique vient de supprimer la taxe sur l'assurance-crédit qui, en France, s'élève à 9 %.