En réponse, M. Dominique Bussereau, ministre de l'agriculture et de la pêche, a fait part de son grand intérêt pour cette question et en particulier pour la préservation de l'équilibre qui avait été trouvé entre l'ensemble des parties prenantes à cette affaire. Aussi, a-t-il invité M. Jean Boyer à poursuivre l'examen de cette question en relation avec les services du ministère, de façon à ce qu'une solution rapide et satisfaisante puisse être apportée si nécessaire.