a jugé très positive la dynamique lancée par la Fondation du patrimoine qui a permis une multiplication des initiatives et a contribué au développement du mécénat et du financement privé. Il a estimé cependant que, dans les départements qui conduisent déjà depuis longtemps une politique active de réhabilitation du petit patrimoine non protégé, les modalités d'intervention de la Fondation gagneraient à être clarifiées de façon à rendre plus perceptible la contribution qu'elle est susceptible d'apporter à un projet.
Il a demandé des précisions sur les principes qui guident la Fondation dans la péréquation géographique de ses interventions. Il a souhaité, d'une façon générale, que la Fondation affiche plus clairement ses priorités de façon à ce que ses interventions obéissent davantage à une politique suivie plutôt que de paraître résulter d'initiatives dispersées. Il a également demandé des précisions sur la part respective du patrimoine bâti et du patrimoine naturel dans les interventions de la Fondation.