a précisé que Capgemini peinait à recruter les 4.000 personnes dont il avait besoin cette année, 30 % des élèves ingénieurs partant vers les métiers les plus techniques de la finance qui offraient des salaires nettement plus attractifs. Il a déploré que le nombre de places en école d'ingénieurs n'ait pas été augmenté pour tenir compte de ce phénomène. Par ailleurs, il a fait observer que Capgemini proposait des métiers plus cycliques et donc moins sûrs que d'autres grandes entreprises comme Airbus.
Il a conclu en encourageant les sénateurs qui se rendraient en Inde à bien choisir les villes où ils feraient étape, les incitant à passer à Bangalore, Bombay, Delhi... Il leur a indiqué que M. Gilles Taldu, directeur en charge des implantations offshore chez Capgemini, et le directeur financier français de Capgemini à Bombay étaient à leur entière disposition pour leur permettre de vérifier qu'ils avaient établi les contacts les plus utiles en Inde.