a conclu en soulignant que le commissaire européen avait lui-même parfaitement répondu au défi linguistique puisqu'au-delà du roumain, sa langue maternelle, il maîtrisait le français et l'anglais, langues de travail, et l'espagnol et l'italien en « connaissance passive ». Cette hiérarchie de connaissances est sans doute l'une des voies de la diversité linguistique de l'Europe.