a observé que, si au terme de la mise en oeuvre de la loi d'orientation et de programmation de la justice, 13.200 places seraient créées, l'augmentation de ces capacités avait pour principal objectif de garantir le principe d'un encellulement individuel qui constituait un élément fondamental pour améliorer les conditions de détention. Il a ajouté qu'il fallait développer les mesures d'aménagement de peine, voire les systématiser, pour les peines de très courte durée.