Concernant les ordonnances de protection, il me semble que les Algériennes ne peuvent en bénéficier car elles restent sous l'empire de la loi algérienne.
Par ailleurs, la question de l'hébergement d'urgence n'est pas suffisante : il faut aussi des structures pour accompagner ces femmes sur une plus longue durée. N'oublions pas les enfants ainsi que les auteurs de violences qui doivent, eux-aussi, être pris en charge. Enfin, je voudrais faire un « clin d'oeil » : lorsque l'on parle de « garçon manqué », cela n'a pas la même connotation péjorative que « fille manquée » !