En réponse à M. Albéric de Montgolfier, qui s'interrogeait sur l'existence éventuelle d'un plancher concernant les prises de participation du FSI, M. Gilles Michel a indiqué que n'existe qu'une limite supérieure consistant à ne pas prendre le contrôle d'une entreprise mais, en tout état de cause, il convient d'acquérir une participation suffisante afin d'avoir un impact sur la gouvernance de celle-ci.