Reprenant la question posée par le rapporteur, M. François Autain, président, a demandé pourquoi ces informations n'avaient pas été rendues publiques. Cela aurait pu éviter des inquiétudes ou des paniques - qui n'ont pas eu lieu mais qui auraient pu se produire compte tenu des premières informations, d'ailleurs erronées, venues du Mexique. Mais on insistait seulement sur le risque des mutations.