a estimé, sous réserve de vérification, que cette responsabilité pouvait être prise en charge par l'Office national d'indemnisation des accidents médicaux, des affections iatrogènes et des infections nosocomiales (ONIAM), dans le cadre de ce qui peut être considéré comme un aléa thérapeutique. Mais il a ajouté que si des effets indésirables sévères avaient été constatés, il aurait surtout appartenu à l'administration de prendre éventuellement la décision de suspendre la campagne de vaccination.