a ensuite fait valoir que la grippe est rarement très dangereuse dans les pays développés, qui sont les plus à même de stocker des antiviraux ou d'acheter des vaccins. Les dons prévus aux pays les plus pauvres, dont la population est la plus vulnérable, ne semblent pas de nature à réduire ce déséquilibre. Comment rendre plus équitable l'accès aux moyens de lutte contre une pandémie grippale ?