La ministre est ensuite revenue, en réponse à une question de M. Alain Milon, rapporteur, sur l'évolution des sondages. On constate une diminution des intentions de vaccination en octobre et une remontée fin novembre. Ces mouvements s'expliquent par une active campagne incitant à la méfiance vis-à-vis de la vaccination et par la constatation que l'épidémie sera moins sévère que prévu. La remontée de novembre s'explique par l'arrivée effective de la grippe et par la mutation du virus en Norvège.