a répondu que lorsqu'apparaît une épidémie, il faut étudier l'agent infectieux mais aussi, sans attendre, la réceptivité de la population à cet agent. Il a donc renouvelé la proposition de constituer un programme de recherche générique, soumis à une expertise scientifique et dont on prévoirait le financement. Dès lors, si une épidémie surgissait, on aurait en réserve un programme de recherche financé par anticipation. Cela permettrait de ne pas être pris au dépourvu.