Après avoir rappelé que le numérique et l'analogique pouvaient coexister, M. Ivan Renar s'est interrogé sur l'opportunité de choisir l'année 2011 comme date d'extinction définitive du signal analogique. En effet, il a fait remarquer que la perspective des élections présidentielles pouvait conduire les pouvoirs publics à renoncer à mener à son terme cette opération difficile à réaliser sur le plan technique et délicate à faire accepter sur le plan politique.