a relevé la « férocité » des discours tenus par le Crédit agricole, le Crédit mutuel, les Banques populaires et la Caisse d'Epargne contre la Banque postale. Il a estimé qu'il était impératif pour La Poste de gagner cette bataille de l'opinion afin de justifier la distribution, par ce groupe, du livret A, lequel servait au logement social, à l'accueil de tous les revenus... Il a fait part de sa crainte que l'élargissement de la gamme des produits offerts par la Banque postale ne lui soit concédée contre un abandon du livret A.