Merci pour toutes ces informations. Je m'interroge sur la crédibilité globale de la démarche, cependant : le contrôle prend la forme d'une évaluation par les pairs. Or les exigences et le niveau d'éthique varient d'un pays à l'autre. Et la transparence des flux est-elle bien réelle ? Les outils pour traquer le blanchiment ou d'autres délits financiers se généralisent, mais il subsiste toujours des OFNI, des objets financiers non identifiés, qui circulent par les réseaux mafieux. Le Botswana, le Costa Rica, le Guatemala ou d'autres, en quête de respectabilité, ne laissent-ils pas, par accord tacite, des flux financiers douteux circuler dans la coulisse ? Le système OCDE peut-il obtenir des résultats autres que modestes ?