a exprimé ses réserves à l'égard de la notion de pays sûr, soulignant qu'il ne suffisait pas de prendre en compte des critères politiques mais aussi les réalités sociales et rappelant la situation qui pouvait être faite, dans certains pays, aux femmes ou aux homosexuels. Elle s'est inquiétée de l'éventualité que certains pays puissent être considérés comme « sûrs » en raison des relations commerciales entretenues avec eux et, d'une manière générale, de la tendance à « l'externalisation » du droit d'asile.
Elle a d'autre part demandé comment serait appréciée l'intégration républicaine des demandeurs de regroupement familial.