a répondu que ces filières étaient sans aucun doute les plus structurées et les mieux adaptées. Il a précisé que quasiment aucun clandestin chinois n'émigrait sans l'aide d'une filière.
Illustrant leur professionnalisme, il a indiqué que ces filières formaient les candidats à l'immigration à répondre aux questions des policiers et offraient un réel service après-vente, notamment en fournissant un avocat en cas d'interpellation. Plus grave encore, il a expliqué que ces filières tentaient d'infiltrer les autorités publiques comme l'Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) ou la police nationale.