Confirmant le propos du Président Emorine, M. Jean-Paul Alduy, rapporteur pour avis, a ajouté que la Caisse des dépôts et consignations avait mis à disposition une petite enveloppe de crédits pour aider au montage final des dossiers finalisés qui pouvait être aussi mobilisée pour la mise en oeuvre des PER. Il a également estimé qu'après l'évaluation du dispositif et des résultats de ceux-ci, on pourrait revoir la formule. Il serait souhaitable, en effet, que la technique de l'appel au soutien à projets ne soit pas un « fusil à un coup », compte tenu du succès qu'elle a rencontré et des résultats qu'elle semble donner : il faudra « recharger le fusil » et recourir à nouveau à cette technique, sans doute plus efficace que les zonages car elle permet une aide ciblée allant vers des acteurs rassemblés autour d'un projet.