S'agissant de la fièvre aphteuse, M. Jean-Luc Angot a réagi aux propos de M. Gérard Bailly sur la surveillance sanitaire au Royaume-Uni, en observant que ce pays, dans un esprit insulaire, avait plus concentré ses contrôles aux frontières que sur son territoire. Il a souhaité un renforcement de la vigilance des autorités sanitaires britanniques, tout en reconnaissant une certaine amélioration.