N'oublions pas que les premiers éducateurs sportifs étaient des militaires : on n'était pas là pour s'amuser !
Les entraîneurs accusent souvent les jeunes sportives d'être indisciplinées, or c'est seulement qu'elles ne fonctionnement pas de la même façon que les garçons, elles ont besoin d'adhérer aux décisions de l'entraîneur, leurs groupes sont plus décontractés !
Le rapport du groupe de travail ne traite pas du sport de haut niveau. Grâce au CIO, au ministère, les choses se sont améliorées, et le niveau des femmes est aujourd'hui équivalent à celui des hommes. Face à l'indifférence des médias, il est important de mettre en avant les exploits des sportives, de leur accorder la même reconnaissance officielle qu'aux hommes. C'est l'intérêt de la télévision pour le tennis féminin qui a permis aux championnes d'obtenir les mêmes dotations que les hommes. Dans les sports où il n'y a pas d'argent, comme l'escrime ou le judo, une championne n'obtiendra qu'une demi-page dans L'Équipe, contre une page entière pour son homologue masculin... Mais les choses vont s'améliorant : il y a de plus en plus de femmes journalistes spécialisées.