Intervention de Françoise Haramburu

Mission commune d'information sur le Mediator — Réunion du 24 mai 2011 : 1ère réunion
Table ronde sur la pharmacovigilance en france

Françoise Haramburu, responsable du centre de pharmacovigilance de Dijon :

La difficulté des études prospectives est liée au fait que l'on travaille souvent sur un risque très faible en pharmacovigilance qui nous oblige à suivre des dizaines de milliers, voire des centaines de milliers de patients. Avec trois mille patients, vous êtes certain de trouver un cas ayant une incidence d'1 sur 3 000. Or nous travaillons sur des incidences faibles d'1 sur 10 000 ou 1 sur 100 000. Des études prospectives supposent de suivre énormément de patients pour évaluer un impact.

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