a rappelé qu'il existait, à n'en pas douter, une tradition française de faible développement des enseignements artistiques et culturels. Leur redonner une place de choix suppose donc de rompre avec certains réflexes bien installés, qui se sont à nouveau manifestés au moment de l'élaboration du socle commun de connaissances et de compétences résultant de la loi pour l'avenir de l'école.