a reconnu que la rédaction adoptée au Sénat comporte une ambiguïté entre les salariés et les candidats à un emploi et peut donc s'avérer d'application délicate. Il s'est toutefois déclaré opposé à la suppression de cet article et donc du principe de l'anonymat des CV et a proposé une nouvelle rédaction rendant obligatoire, dans les entreprises de cinquante salariés et plus, l'examen des informations communiquées par le candidat à l'emploi dans des conditions préservant son anonymat.