a estimé qu'il était nécessaire, compte tenu des pratiques constatées, d'agir rapidement, le niveau législatif lui paraissant pleinement approprié.
Il a mis en exergue le fait que la crise financière que l'économie mondiale traversait devait conduire à des réformes réelles et à s'interroger sur le bien-fondé de pratiques telles que les stock-options.
Reconnaissant que certaines dispositions de la proposition de loi étaient sans doute perfectibles, il a critiqué la proposition de renvoi en commission si elle devait aboutir à ne jamais discuter des modifications envisagées. Il a souhaité que le Sénat puisse débattre sur l'ensemble des articles présentés.