Approuvant cette démarche, M. Jack Ralite a souhaité que l'on ne s'abandonne pas à un « esprit de fatalité ». Il s'est demandé si la France ne pourrait pas dégager les sommes nécessaires à la numérisation des fonds de ses bibliothèques compte tenu de son rôle de chef de file et des moyens financiers que d'autres pays, comme le Japon, ont décidé de consacrer à cette opération.