a marqué son adhésion aux deux mots-clé du projet de loi : simplification et équilibre. Insistant sur ce second principe, il a fait valoir son attachement à un équilibre effectif entre les grands et les petits commerces, ainsi qu'entre les zones géographiques. A ce titre, il a souhaité que la loi puisse mettre fin aux abus actuellement constatés, par lesquels certains élus peuvent, au sein des commissions d'équipement commercial, décider de l'implantation de magasins dans le seul intérêt de leur collectivité. Il s'est interrogé, enfin, sur les risques éventuels que représentait le développement des villages de marques.